REVISTA TRIPLOV
de Artes, Religiões e Ciências


Nova Série | 2011 | Número 11

 

«Quand Dieu efface, c’est qu’il va écrire. » Bossuet

«La lime ne se doute pas qu’elle fait une clef. » Joseph de Maistre

«D’après la Tradition, Vishnou détruira le monde pour le renouveler ensuite et y faire régner la justice et l’âge d’or. » Boulanger, L’antiquité dévoilée

                                               

RICHARD KHAITZINE

 

La colère de Mère Nature 

 

DIREÇÃO  
Maria Estela Guedes  
Índice de Autores  
Série Anterior  
Nova Série | Página Principal  
SÍTIOS ALIADOS  
TriploII - Blog do TriploV  
TriploV  
Agulha Hispânica  
Bule, O  
Contrário do Tempo, O  
Domador de Sonhos  
Filo-Cafés  
Jornal de Poesia  
   

Introduction

 

Il y a de cela une quinzaine d’années, fut publié mon troisième livre, intitulé Le Huitième Sceau (1). Cet ouvrage qui dénonçait les errements de la science et l’irresponsabilité des Nations, avait pour but d’attirer, déjà, l’attention des pouvoirs publics ou non, des industriels et des scientifiques sur les dangers qui menaçaient l’avenir de la planète. Le livre sortit dans l’indifférence la plus totale. D’ailleurs, ceux à qui ce travail s’adressait en priorité, tels les contemporains de Cassandre, se moquèrent délibérément des thèses qui y étaient exposées, oubliant que Cassandre avait annoncé la destruction de Troie et que Troie avait été détruite en dépit des  sarcasmes. Personne à l’époque ne pouvait imaginer le déchaînement des éléments que nous connaissons depuis quelques années. Il est vrai que nos « élites » sont singulièrement dépourvues d’imagination. Ont-elles seulement une cervelle ? On peut en douter quand on constate la distance qui sépare leurs décisions des priorités et des préoccupations de leurs concitoyens. Toujours est-il que Le Huitième Sceau, avec le recul, était un travail véritablement prophétique,  ce qui suffirait à expliquer qu’il soit très recherché aujourd’hui.

 

  Un monde qui perd la boule…
 

 

Il est regrettable que les médias soient atteints d’une sévère et persistante amnésie. Si tel n’était pas le cas, il y aurait un intérêt certain à ressortir les déclarations faites, dans le passé, par nos philosophes hautains et tous les donneurs de leçons. Imaginez d’ailleurs qu’on fasse de même avec les promesses électorales. Mais ne rêvons pas ! Toujours est-il que Louis Pauwels avait, avec un aplomb formidable, affirmé, dans Lettre ouverte aux gens heureux et qui ont bien raison de l’être, que les dangers de la pollution étaient inexistants, et que tout ce qui se disait à ce sujet était à mettre sur le compte d’une manipulation gauchiste. Sauf interprétation contraire ! Quelques décennies plus tard, personne n’émet plus le moindre doute quant au fait que notre pauvre globe terrestre est victime d’une pollution dramatique. Quant à rechercher les coupables, nul n’est besoin d’aller inventer un quelconque complot révolutionnaire. En revanche, si les États, dans leur majorité, reconnaissent qu’il est urgent d’adopter des mesures, il faut bien reconnaître qu’ils  ne se donnent pas les moyens de renverser le processus. Il faut dire que cela nécessiterait, non pas de heurter l’extrême sensibilité de certains groupes de pression, car ils en sont totalement dépourvus, comme de scrupules d’ailleurs, mais de s’attaquer à leurs intérêts. Par suite, il est urgent… de ne rien faire ! Pour juger du paradoxe, il suffit de mettre en parallèle la campagne agressive anti-tabac et le laxisme dont font preuve les états en ce qui concerne les polluants engendrés par l’industrie automobile. Au nom du sociologiquement correct on étend l’interdiction  de fumer en invoquant le tabagisme passif. En revanche, il ne viendrait à l’idée de personne de parler d’intoxication passive par suite de l’inhalation forcée des gaz et résidus toxiques engendrés par la combustion des carburants. Les risques pulmonaires encourus seraient-ils plus graves dans le premier cas que dans le deuxième ? Il est vrai que la taxe sur les carburants assure aux états une manne financière substantielle et ceci explique cela. Il serait tentant de répondre que la situation, du point de vue économique, est identique concernant le tabac. Sur ce point l’hypocrisie atteint des sommets himalayens. L’État, de par la politique de taxes qu’il mène, est le principal responsable de la dégradation du produit sur lequel il perçoit un impôt assurant une part non négligeable de son budget. Mieux encore, le législateur, et par conséquent ce même État, oblige les fabricants à apposer des mentions attirant l’attention des consommateurs sur la dangerosité de leurs produits. Ainsi, on a pu voir sur les emballages que le tabac contenait du benzène et autres substances nocives très éloignées de l’herbe à Nicot. Moralité, l’État cautionne l’empoisonnement sciemment organisé de la clientèle et se dédouane en avertissant le consommateur. On ne saurait pousser plus loin le cynisme !   

Une chose est sûre, c’est qu’après la chute du Communisme nous allons assister à celle du Capitalisme. D’ailleurs, ce système économique est déjà mort mais ne le sait pas ! Exagération ? Non, c’est dans l’ordre des choses et cela fait partie des bouleversements en germe dans le changement d’ère en cours. Ce qui est vrai concernant l’économie le sera aussi dans tous les autres domaines : rapports sociaux, culture, religion, tout sera brassé, balayé par un souffle formidable, face auquel toute résistance sera dérisoire, tout comme elle l’a été lors des récentes et multiples catastrophes planétaires. C’est que lorsque l’Esprit souffle, il souffle où il veut et fort ! Or nous l’avons dit, le Verseau se caractérise par la descente de l’Esprit.

En dépit de la « tempête du siècle », les milieux scientifiques, il y a de cela trois ou quatre ans, se refusaient encore à envisager le caractère inhabituel des catastrophes en séries qui allaient se multipliant en fréquence et en densité. Les typhons, les tornades, les tsunamis, les tremblements de terre, les raz-de-marée, les pluies diluviennes côtoyant une sécheresse peu ordinaire, le décalage des saisons, leur semblaient autant de phénomènes normaux. Ils s’évertuaient à nous convaincre que le passé en avait eu sa part. Était-ce afin de minimiser la responsabilité de la Science ? On est en droit de se poser la question. Car enfin, ce fameux trou dans la couche d’ozone, responsable de tous les maux, comment s’est-il créé ? Il n’a certainement pas été provoqué par l’usage inconsidéré des bombes aérosols, ce qui permettrait d’en rejeter la responsabilité sur le citoyen lambda. C’est d’ailleurs devenu une habitude de culpabiliser le consommateur dès qu’il est question de trou, et ce dans tous les domaines, qu’il s’agisse de celui de la couche d’ozone ou de celui, plus terrestre, de la sécurité sociale ! La vérité ? Elle est à rechercher ailleurs ! Dans ces missions spatiales qui coûtent des milliards de dollars ou d’euros. Toujours est-il que cette atteinte à l’intégrité de la couche d’ozone va avoir des conséquences redoutables et dramatiques. En effet, la déchirure qui l’affecte va entraîner l’aspiration des ondes électromagnétiques qui sont à la base de toute notre technologie. Cette réaction est semblable à celle constatée dans les immeubles où la chaleur a tendance à monter. Or, nos appareils de cuisson, nos ordinateurs, nos téléphones portables etc. génèrent en continue une pollution énergétique qui va passer de l’atmosphère dans les couche supérieures pour atteindre la ionosphère. Ce mot signifie justement : ion (violet) noos (esprit)… la sphère de l’esprit violet ! Il s’agit du plus formidable réservoir d’énergie qui se puisse concevoir. Un brevet avait d’ailleurs été déposé par un américain, il y a quelques dizaines d’années, brevet destiné à remplacer le pétrole par le plasma tiré de l’hyperespace. Le génial chercheur a été « invité » à abandonner ses travaux.

Au danger sus évoqué, il faut ajouter l’effet de serre engendré par la pollution industrielle et automobile, effet de serre qui provoque le réchauffement de la planète, la fonte des glaces aux pôles, ce qui entraîne une montée des eaux. Or cette montée des eaux par adjonction d’eau douce rompt l’équilibre des océans chargés de sel qui sert de régulateur. Enfin, on peut mentionner le soulèvement et la dérive des plaques tectoniques, lesquels ne sont pas sans relation avec les multiples essais nucléaires souterrains, voire les mégatonnes de bombes déversées depuis plus de soixante ans. Faut-il en rajouter « une louche » ? Oui, en soulignant l’apparition de nouveaux virus, particulièrement résistants et mortels se transmettant des espèces animales à l’homme. Après la tremblante du mouton, nous avons connu la maladie de la vache folle, puis la grippe du poulet. Ceux qui n’aiment pas le porc ou qui suivent les interdits religieux risquent de ne plus avoir besoin de se mettre au régime. Toute plaisanterie mise à part, n’assiste-t-on pas à une volonté de notre mère la Terre de se débarrasser de l’Homme ? Nous savons que tout organisme malade – ce qui est le cas de notre mère nourricière – secrète des anticorps afin de lutter et d’éradiquer le virus l’ayant infecté. C’est que fait la nature. Elle est malade de l’Homme et met tout en œuvre pour l’éjecter. Le traitement de choc a commencé et va se poursuivre.

Toutefois, le plus grave réside dans une hypothèse soutenue à la fin du XIXe siècle et au début du XXe, à la fois par Fulcanelli, Camille Flammarion et Jules Verne qui, tous trois, prévoyaient un basculement des pôles d’un quart de tour, voire un renversement total. Science-fiction s’écrieront les scientistes obtus, oubliant que la science-fiction c’est de la fiction prophétique !

 

  Et si la Terre perdait le nord ?
 

 

Souvenez-vous… mardi 28 décembre 2004, à 9h14 : Une dépêche de l’AFP en provenance de Los Angeles annonçait : « Le  séisme en Asie a été si puissant qu'il a fait vaciller la terre sur son axe et modifié la carte d'Asie en déplaçant des îles à Sumatra, ont estimé des experts américains en géophysique.

Le séisme de magnitude 9 degrés sur l'échelle ouverte de Richter, dont l'épicentre était situé à 250 km au sud-est de Sumatra, pourrait avoir déplacé les plus petites îles de la région de quelque 20 mètres, selon un expert de l'institut géologique américain (US Geological Survey), Ken Hudnut.

"Le tremblement de terre a changé la carte", a-t-il déclaré. "En se basant sur des modèles sismiques, on peut dire que certaines des plus petites îles au sud-ouest des côtes de Sumatra peuvent avoir avancé de 20 mètres vers le sud-ouest. Ce qui est un glissement important". La pointe nord-ouest du territoire indonésien de Sumatra pourrait également avoir glissé vers le sud-ouest d'environ 36 m, selon le même expert. De plus, l'énergie dégagée par la rencontre des deux plaques qui a provoqué le séisme, a également pu faire vaciller la terre sur son axe, a estimé M. Hudnut. "Nous pouvons détecter les mouvements très légers de la terre et je pense qu'elle a vacillé dans son orbite lorsque le tremblement de terre a eu lieu en raison de la quantité massive d'énergie dégagée" a déclaré M. Hudnut. Stuart Sipkin, chercheur au centre d'information national sur les séismes de l'USGS, basé à Goulden (Colorado), a estimé que les îles au large de Sumatra s'étaient déplacées, mais de façon verticale, émergeant un peu plus de la mer, plutôt que latéralement. "La plaque indienne a plongé sous la plaque birmane, (...) aussi le mouvement des îles a dû être vertical et pas horizontal" a-t-il déclaré. »

Soulignons qu’une magnitude de 9 sur l’échelle de Richter est exceptionnelle. Une magnitude de 10, jugée longtemps improbable par les sismologues, serait apocalyptique.  Les scénaristes américains ne semblent plus penser qu’une telle ampleur est inimaginable et l’on a pu voir récemment à la télévision française un téléfilm titré magnitude 10,5 …

L’information selon laquelle la terre avait vacillé sur son axe, si elle fut relayée par les medias, fit rapidement l’objet de propos rassurants, à savoir que « oui la terre avait vacillé, mais elle avait repris sa place… » 

Marc-André Gutscher, chercheur au CNRS, spécialisé dans la tectonique des plaques, au sein du laboratoire de l'Institut universitaire européen de la mer (IUEM) sur le technopôle de Brest, déclarait à propos du séisme en Asie du Sud-Est :

« Dans ces zones, quand on assiste à un reflux rapide de la mer, il faut tout de suite s'enfuir.»   

« Un séisme de magnitude 9 sur l'échelle de Richter représente la valeur de 30 séismes de magnitude 8 ! C'est une progression logarithmique. » La précision apportée par Marc-André Gutscher est éclairante pour le profane, qui n'imagine pas un tel gouffre entre deux points de cette fameuse échelle de Richter.

Cette fois, il s'agit selon les experts d'un 9 tout rond, ce qui en fait le quatrième (sur une quarantaine) d'une telle puissance au cours des 100 dernières années avec celui du Kamtchatka, aux confins de la Sibérie, le 25 juin 1952 (9), du Chili le 22 mai 1960 (9,5) et d'Alaska le 28 mars 1964 (9,2).

Il faut savoir qu’un séisme de subduction est provoqué par le glissement d'une plaque sous une autre. « La plaque indo australienne se déplace vers le nord-est à la vitesse de 5 cm par an; sur 200 ans, cela fait dix mètres. Lors d'une phase inter sismique, cette avancée est bloquée, comme verrouillée. Il y a alors une accumulation de contraintes qui se libèrent violemment comme un ressort lors du séisme. »

Celui-ci a été d'autant plus violent que les contraintes s'exerçaient sur une ligne qui fait 1.000 km de long sur 100 km de large : du point donné comme épicentre jusqu'à l'extrémité nord des îles Andaman. Il faut imaginer une bande de côte de cette largeur qui irait de la Bretagne aux Pyrénées. On comprend mieux dès lors pourquoi des zones comme Phuket ou la côte indienne ont été aussi gravement touchées.

Le phénomène peut être reproduit dans une piscine grâce à deux grosses planches qui basculent et provoquent des mouvements positifs puis négatifs côté ouest et, inversement, négatifs puis positif côté est. Le tout suivi d'oscillations, sans compter les nombreuses répliques à suivre...

Il faut aussi mentionner cette dépêche émanant de l’AFP de Chicago :  

« Le sud des Etats-Unis a été touché samedi par d'inhabituelles tempêtes de neige, les habitants du sud du Texas s'éveillant samedi sous un manteau blanc, un phénomène qui ne s'était pas produit depuis des dizaines d'années. La ville de Brownsville près de la frontière avec le Mexique a ainsi été recouverte de 3,8 cm de neige. Jamais depuis 1895, la neige n'était tombée à cet endroit, a affirmé la chaîne météo Weather Channel. Corpus Christi, une autre ville du sud du Texas, a été recouverte de 12,7 cm de neige, autant que toute la neige qui était tombée dans cette ville du Golfe du Mexique en 72 ans. Un peu plus au nord que Corpus Christi, Victoria a été recouverte de 30,5 cm de neige. "Des tempêtes de neige dans le sud du Texas sont extrêmement inhabituelles", a commenté un expert de la météo sur Weather Channel. La neige devrait toucher en soirée l'Etat voisin de Louisiane avant de remonter vers la Caroline du Sud. Le service national de la météo a publié un bulletin d'alerte de verglas pour le sud du Texas et un avis de grand froid pour le sud de la Louisiane et le long des côtes du Mississipi. Le service météo a recommandé notamment aux Texans de garder leurs animaux familiers à la maison en raison des températures extrêmement basses à l'extérieur et conseillé aux habitants de Louisiane de limiter leurs déplacements automobiles. "Si vous quittez votre domicile, vous mettez votre vie en danger", a mis en garde le service météo. De nombreux ponts de Louisiane ont été fermés à la circulation en raison du verglas. Selon la Weather Channel, c'est la première fois en 50 ans que la Louisiane connaît ce type d'intempéries. 

Depuis, nous avons pu assister à une accélération de la fréquence des cataclysmes. De violents cyclones se sont abattus sur Cuba, l’Amérique latine, le Golfe du Mexique, les côtes américaines. Quant à la  Louisiane, nous savons ce qu’il en est advenu. On peut constater aussi, sur la France, une température anormalement élevée par rapport aux normales saisonnières. La météo deviendrait-elle folle ? Toutes ces constatations font craindre le pire en dépit du discours lénifiant des autorités mondiales. Faut-il craindre le pire et allons-nous effectivement vers une inversion des pôles ? Si cette hypothèse se vérifiait il faudrait imaginer le pire des scenarii, un scénario que le cinéma n’a pas osé envisager (2). 

 

 

(1) Cet ouvrage n’est plus disponible actuellement. Le dernier exemplaire était proposé, il y a de cela plusieurs mois au prix de 7000 francs sur le net. Cet ouvrage fondamental a été réédité en 2007, révisé et mis à jour, sous un titre différent «Quand la Terre gronde » par MCOR.

(2) Depuis la rédaction de cet article, les choses ont changé et Roland Emmerich, le réalisateur américano-Allemand en a fait deux films : Le Jour d’après et 2012 !

 

 

RICHARD KHAITZINE (FRANCE)
Écrivain, romancier, historien, critique d’art et scénariste français, né le 20 septembre 1947 à Paris et demeurant à Paris.
Il est issu d’une famille de juifs russes émigrés d’Odessa en 1914.
Au cours de sa carrière d’écrivain, il a publié une trentaine d’essais, dont plusieurs sont devenus des livres de référence, sur des sujets aussi divers que la littérature, la peinture, la Franc-maçonnerie, le symbolisme, les religions et l’hermétisme. Tous ces travaux font une large part à l’histoire de l’alchimie, aux arts et traditions populaires qui en sont les véhicules. Il est l’auteur, également, de deux romans.
Il a participé au colloque de Lisbonne en 1999 et à celui de Quinta da Regaleira en 2009. Richard Khaitzine se définit comme «un agitateur d’idées, un penseur libre, un résistant qui refuse le terrorisme intellectuel et la pensée stérilisée imposés par ceux qui séquestrent la culture dans des nécropoles dont ils se sont autoproclamés les gardiens. » Il est membre de la Société des gens de lettres depuis 1998.
Quelques titres publiés :
* La langue des Oiseaux (tome 1) Le second tome consacré à Georges Perec et à Raymond Roussel est en cours de publication. * De la Parole voilée à la Parole perdue
* Marie Madeleine et Jésus. * Quand la Terre gronde. * La Joconde, histoire, secrets et énigme. * Le Comte de Saint-Germain, hypothèse et affabulations.
* Peter Pan… pour une lecture intelligente des contes.
Sa biographie complète est visible sur Wikipédia
E-mail:
r.khaitzine1@aliceadsl.fr

 

 

© Maria Estela Guedes
estela@triplov.com
PORTUGAL